Voici un phénomène naturel impossible. Un truc qui ne se peut pas, mais pourtant, qui existe.
Des animaux sont retrouvés enfermés dans des pierres ou des arbres, sans aucun moyen de respirer ou de se nourrir.
Et sans aucun moyen d’y entrer ou d’en sortir… Et pourtant, ils vivent.
Introduction
En septembre 1770, lors de la rénovation du mur d’un château français, un crapaud fut trouvé emmuré dans le plâtre. Et l’animal était encore en vie! Le plâtre de ce mur avait été appliqué 40 ans auparavant, et n’avait pas été touché depuis.
Encore plus surprenant, le récit d’ouvriers anglais qui travaillaient, en 1852, à extraire des minéraux lorsqu’ils sont tombés à une profondeur de 4 mètres, sur un gros rocher. La pierre a dû être brisée en morceaux pour la dégager. Près du centre de cette grosse pierre, un crapaud vivant fut trouvé dans une cavité! L’animal faisait 15 centimètres de diamètre, et il mourut peu de temps après avoir été libéré.
Mais comment ces animaux se sont-ils retrouvés là? Il n’existait aucun moyen d’entrer ou de sortir du plâtre, ou de ce rocher. Et comment ont-ils pu survivre dans de telles conditions? Comment pouvaient-ils respirer, boire et manger?
Bien que complètement étranges, ces deux événements ne sont pas les seuls dans leur genre. Si on fouille dans les document historiques, on peut y trouver plus de 200 cas répertoriés de reptiles encastrés dans la pierre ou dans un matériel semblable. Et cela, sans compter tous les autres cas qui n’ont pas été officiellement documentés.
Voici quelques cas intéressants d'animaux encastrés vivants
Une tortue vivante
En 1976, une équipe d’ouvriers, à Fort Worth au Texas, détruisait du béton qui avait été coulé un an plus tôt. À l’intérieur de ce béton, une tortue vivante fut découverte dans une poche d’air qui faisait exactement la forme de l’animal. La tortue est morte quelques jours après sa découverte.
Un crapaud à la bouche scellée
En 1865, le journal Hartlepool Free Press a rapporté que des ouvriers travaillant à extraire un bloc de calcaire magnésien situé à 25 pieds sous terre, ont découvert dans la pierre une cavité qui contenait un crapaud vivant.
« La cavité n’était pas plus grande que l’animal et semblait être une moulure de son corps. Les yeux du crapaud brillaient d’un éclat inhabituel et l’animal s’est montré plein de vie lorsqu’il fut libéré. On aurait dit, au moment de sa découverte, que l’animal voulait respirer, mais qu’il avait de la difficulté. Le seul indice de son succès, était une sorte d’aboiement (…). Sa bouche était complètement close, et il émettait son bruit d’aboiement par les narines. Les griffes de ses pattes avant étaient tournées vers l’intérieur, et les griffes de ses pattes arrière étaient d’une longueur exceptionnelle, ce qui ne ressemble pas au crapaud anglais moderne. Lorsqu’il fut trouvé, le crapaud était de couleur pâle et on ne le distinguait pas facilement de la pierre. Mais en peu de temps, sa couleur devint plus foncée et tourna en un brun olivâtre. »
Deux bêtes dans la même cavité
Animaux enfermés dans des troncs d'arbres
Il y a aussi quelques cas rapportés de reptiles trouvés emmurés à l’intérieur de troncs d’arbre. L’Académie Française des Sciences a publié en 1719 le récit d’un grand orme qui avait cassé. Au centre du tronc d’arbre, à environ 4 pieds au-dessus des racines, un crapaud vivant y était encastré, emplissant complètement un trou au centre de l’orme.
68 crapauds dans le même arbre
Le Uitenhage Times d’Afrique du Sud a publié en 1876 l’histoire de bûcherons qui transformaient un arbre en planches lorsque, dans un trou au creu de l’arbre, ils ont trouvé 68 petits crapauds de la taille d’un raisin.
« Ils étaient de couleur beige, presque jaune, et parfaitement sains, sautillant comme si de rien n’était. Tout ce qui les entourait, c’était du bois jaune solide, avec rien qui puisse indiquer comment ils auraient pu arriver là, pendant combien de temps ils sont restés là, ou comment ils ont pu survivre sans nourriture, sans boisson, et sans air. »
Mais comment ces reptiles se sont-ils retrouvés là?
Laissons de côté les hypothèses les plus farfelues, comme l’oeuvre du démon, la génération spontanée d’animal ou le phénomène divin qui aurait conservé certains animaux vivants dans la pierre lors du déluge… (ces hypothèses ont réellement été évoquées!) Voyons plutôt en détail les hypothèses plausibles:
Hypothèse: Les oeufs
Dans des rapports anciens sur le phénomène, il est souvent spéculé que des oeufs de crapauds ou de grenouilles ont dû se retrouver dans une cavité, et que l’animal a grossi, jusqu’à remplir le trou… Ce qui pourrait peut-être expliquer les fois où des reptiles ont été découverts en grappe dans du bois ou du béton.
Le biologiste de renom Julian Huxley a partagé avoir reçu une lettre dans laquelle un technicien d’une compagnie de gaz explique qu’il venait de briser un plancher de béton lorsque ceci se produisit:
Nous nous sommes tous les deux approchés pour mieux voir, et il y avait vraiment une grenouille dans le béton.
Sans utiliser le marteau cette fois, j'ai doucement coupé le reste du bloc de béton.
Nous avons libéré 23 minuscules grenouilles parfaitement formées qui sont parties en sautant en direction du jardin."
Serait-il possible que le béton ait été fait avec de l’eau puisée à même une rivière ou un étang tout proche, et qu’elle contenait des oeufs de grenouille? Et que ces oeufs se soient développés dans le béton, pour former un groupe de batraciens encastrés? Difficile de comprendre comment les animaux ont pu se développer sans eau, sans nourriture, et sans air.
Hypothèse: Méprise des témoins
Sous-entendant que les ouvriers ne sont ni très intelligents ni très observateurs, un auteur a formulé cette hypothèse dans le journal Nature en 1910 :
« La véritable interprétation de ces prétendus événements semble être simplement ceci: une grenouille ou un crapaud sautille dans les alentours, alors qu’une pierre est en train d’être brisée, et l’observateur non-scientifique se précipite immédiatement sur la conclusion qu’il a vu la créature émerger de la pierre elle-même. »
S’il est possible qu’il y ait eu quelques cas de méprise, cette explication ne tient plus la route lorsqu’on examine le cas suivant:
En 1821 un lézard vivant fut découvert dans un bloc de pierre qui était logé à 6 mètres de profondeur dans le sol. L’animal mesurait 3 centimètres et était enroulé sur lui-même. Il avait une tête ronde, des yeux brillants, et sa peau était d’une couleur jaunâtre. Après 5 minutes d’immobilité, l’animal commença à bouger et finit par s’enfuir.
Non seulement l’immobilité du reptile rend l’hypothèse précédente impossible, mais en plus, la cavité dans laquelle le reptile fut trouvé était moulée exactement à sa forme!
Et voici un autre cas pour lequel l’hypothèse de l’animal qui saute près de l’ouvrier ne tient plus:
L'histoire du lézard cornu nommé Old Rip
En 1897, la ville de Eastland, au Texas, inaugurait son tout nouveau palais de justice. Respectant la tradition, divers objets, comme des documents et une bible, furent placés dans une pierre symbolique dans le mur du bâtiment.
Alors qu’on s’apprêtait à la refermer, un juge de paix s’est avancé avec son jeune fils. Celui-ci tenait dans ses mains le lézard cornu qu’il avait capturé le matin même. L’enfant glissa son reptile dans le bloc de marbre, et celui-ci fut scellé.
En 1928, le palais de justice, maintenant trop petit pour la population croissante de Eastland, fut démoli pour faire place à la construction d’un plus grand édifice. La pierre angulaire fut ouverte, et il y fut découvert un lézard… encore vivant! Enfermé dans la pierre, sans eau, sans nourriture, et avec une quantité limitée d’oxygène, ce lézard avait survécu 31 ans!
Le « lézard qui refusait de mourir » devint tout de suite une légende dans la ville, et il fut surnommé Old Rip. Il était gardé dans un vivarium, où on le nourrissait avec des fourmis rouges. Il vécut ainsi un an et mourut.
Il fut empaillé et exposé au palais de justice dans un présentoir ayant un fond en velours rouge, où on peut encore le voir aujourd’hui. À chaque année, un festival nommé RipFest a lieu à Eastland, sur le thème des lézards et de leur célébrité locale, Old Rip.
Hypothèse: Canular
Tous les sujets du domaine du paranormal ont été imités, ou jour ou un autre, par ceux qui aiment créer des canulars. Ce phénomène est tellement envahissant que lorsqu’on enquête sur un dossier insolite, on doit toujours chercher les indices qui nous montrent où se trouvent les impostures, et trier le bon grain de l’ivraie.
Dans le cas des animaux encastrés dans la pierre, il y a un spécimen conservé au Booth Museum of Natural History (Royaume-Uni) qui pourrait être un faux. Il avait été présenté au monde par Charles Dawson, un archéologue amateur doublé d’un faussaire, qui est à l’origine de plusieurs forgeries.
Serait-il possible, dans ce cas, que TOUS les récits de reptiles encastrés dans la pierre soient des canulars?
Avis de scientifiques
Mais comment savoir? L’avis des experts peut être important pour déterminer si un événement est une forgerie ou non. Voici quelques scientifiques qui ont été confrontés à la question des reptiles trouvés vivants dans la pierre:
Ambroise Paré
Ambroise Paré fut témoin du phénomène en 1561. (Il sera plus tard physicien du Roi Henri III de France).
Dr. Edward D. Clarke
Un géologue, le Dr. Edward D. Clarke, fit une surprenante découverte alors qu’il cherchait des fossiles dans une carrière de craie du crétacé. À plus de 80 mètres de profondeur, il découvrit des tritons en parfait état de conservation. Après les avoir dégagé avec précaution, il les plaça au soleil, et à sa plus grande stupéfaction, les reptiles commencèrent à bouger. Deux d’entres eux moururent en peu de temps, mais le troisième semblait si vigoureux que le géologue le plaça dans une mare d’eau et le triton parvint à s’échapper.
Le Dr Clarke déclara que ces tritons appartenaient à une espèce auparavant inconnue.
Scientifiques de l'Institut Smithsonian
Lors d’une excavation d’os anciens en 1960, des scientifiques de l’institut américain Smithsonian ont fait une découverte à laquelle ils ne s’attendaient pas. Outre les os de mammouths et de tigres à dents de sabre, ils ont trouvé des grenouilles à l’intérieur de boules d’argile durcies. Certains amphibiens étaient morts, mais d’autres vivaient encore. Les grenouilles n’avaient pas de pigmentation, et elles étaient si transparentes qu’on pouvait voir leur coeur battre. Autre détail insolite, elles avaient la bouche scellée. Les scientifiques les ont datées de la même époque que les mammouths, mais n’ont pas expliqué le mystère entourant leur survie.
Expérimentations scientifiques
Ce phénomène des reptiles encastrés dans la pierre, semble, à prime abord, géologiquement et biologiquement impossible. C’est pourquoi plusieurs scientifique, au fil des ans, ont eu l’idée de faire des expériences sur le sujet.
L'expérience d'Hérissant
En 1771, le naturaliste français Louis-Théodore Hérissant a enfermé trois crapauds dans des compartiments de plâtre, qui étaient eux-mêmes encastrés dans du bois. Deux ans plus tard, deux des crapauds étaient encore en vie.
L'expérience de Séguin
En 1862, le français Alexandre Séguin a emprisonné vingt crapauds dans du plâtre, puis les a enterrés. Douze ans plus tard, quatre d’entre eux étaient encore en vie.
L'expérience de Buckland
Le Professeur William Buckland, un anglais qui était théologiste, géologue et paléontologue, décida de mener sa propre expérimentation. En 1825, il enferma 24 crapauds de différentes tailles dans des niches creusées dans deux blocs de pierre, soit un bloc de calcaire et un bloc de grès. Ces pierres furent enterrées dans son propre jardin à trois pieds de profondeur. En même temps, il enferma quatre crapauds dans des cavités faites dans un pommier sur son terrain, et les trous furent fermés par des bouchons de bois.
Un an plus tard, tous les crapauds insérés dans le grès et dans le pommier étaient morts. Toutefois, quelques bêtes enfermées dans le calcaire avaient survécu. En inspectant les résultats de son expérience, Buckland se rendit compte que certains scellés appliqués sur le calcaire étaient brisés, ce qui pouvait compromettre l’expérience. Il replaça les crapauds vivants dans le bloc de calcaire, apposa de nouveaux scellés, et les enterra à nouveau. Cette fois, aucun d’eux ne survécut.
Buckland en a conclu que les crapauds ne peuvent pas survivre dans la pierre pour de longues périodes de temps, et il affirma que les déclarations sur le phénomène des animaux encastrés étaient erronés.
Toutefois, l’expérience de Buckland comportait un problème majeur: elle manquait de rigueur scientifique. Buckland l’admit lui-même: son expérience n’était pas faite avec des animaux en santé, car avant d’être enfermés, les crapauds avaient été conservés chez lui pendant quelques mois sans être suffisamment nourris. C’est pourquoi plusieurs pairs ont considéré que son expérience n’était pas valide.
Mais l’histoire de Buckland et des reptiles encastrés ne s’arrête pas là. Quelques années plus tard, lors de la Grande Exposition de Londres, le Professeur Buckland fut enragé de voir, exposés côte à côte, un morceau de charbon et une grenouille. Il était expliqué que des mineurs avaient trouvé cette grenouille vivante dans le charbon. Furieux, le Professeur demanda que l’objet soit retiré de l’exposition, expliquant que le phénomène était faux. Son accès de rage ne passa pas inaperçu. Le public lui répondit en envoyant au département d’histoire naturelle du British Museum, d’innombrables spécimens de crapauds et de grenouilles qui avaient été trouvés dans la pierre!
Hypothèse: L'hibernation
Lazzaro Spallanzani, biologiste du 18ème siècle, a été le premier chercheur à faire une étude systématique sur l’hibernation. Il a découvert que la respiration et la digestion cessent de fonctionner chez certains animaux en hibernation. Il a aussi expliqué que leur circulation du sang devient extrêmement lente.
Spallanzani a réussi à conserver des grenouilles et des serpents en état d’hibernation pendant 3 ans en maintenant la température ambiante entre 38° et 39° F. Selon lui, la température est la clé pour activer la torpeur d’hibernation chez l’animal. C’est aussi la clé pour le réveiller, puisque c’est une montée de température dans son environnement qui réveille l’animal au printemps.
Les crapauds qu’on trouve communément sur les sentiers et dans les jardins, comme le crapaud d’Amérique, hibernent sur terre. Comme les forêts et les champs gèlent, bien sûr, et que même le sol gèle, les crapauds doivent se trouver un endroit qui échappe au gel.
Pour cela, ils creusent! Les pieds arrière des crapauds sont dotés d’une excroissance durcie leur permettant de creuser dans le sol. Ils doivent creuser, souvent à plus de 50 cm, jusqu’à la profondeur de gel, où ils passeront l’hiver. Ce n’est qu’une fois la température du sol réchauffée au printemps qu’ils ressortiront.
Une explication partielle
Les études sur l’hibernation semblent nous donner une réponse partielle au mystère qui nous préoccupe: ces animaux peuvent survivre sans manger, ni boire, ni respirer pendant quelques années s’ils sont placés dans des conditions semblables à celles de leur hibernation naturelle. Cela pourrait expliquer les cas de reptiles qui sont restés enfermés quelques années dans du béton coulé par l’homme, et qui étaient toujours vivants au moment où le béton a été détruit.
Pour les cas de reptiles enfermés dans de la pierre vieille de milliers d’années, pourrait-on évoquer la même explication? Il n’existe pas d’expérience scientifique qui le prouve.
Mais si assez de sédiments s’accumulent sur l’argile ou la terre dans lequel le reptile s’est camouflé pour passer l’hiver, la température du sol où se trouve l’animal ne subira plus les mêmes variations de température, étant maintenant trop loin de la surface. Donc, rien ne viendra déclencher le réveil de l’animal au printemps, et celui-ci pourrait garder son état de torpeur pendant des siècles, le temps que l’argile ou la terre se transforme en pierre… serait-ce une explication plausible?
Une pierre chauffée au soleil
Voici une anecdote qui pourrait donner raison à cette hypothèse:
Dr I. W. Smith, de Lockport dans l’État de New York, a raconté qu’en 1812, lorsque des ouvriers creusaient le sol pour la construction de sa cave, ils amassaient tout ce qu’ils extrayaient du sol au même endroit et cela formait un talus. Sur le dessus de ce talus, se trouvait un morceau de grès rouge, et comme il était pratiquement au sommet, il avait dû être extrait vers la fin de l’excavation, et donc se trouver vers 6 pieds de profondeur dans le sol.
Des jours plus tard, lorsque le Docteur a décidé de briser cette pierre de grès, il y a trouvé une grenouille qui semblait récemment décédée. Il a spéculé que le batracien devait être vivant dans la pierre lors de son extraction du sol, et lorsque la pierre a passé plusieurs jours en plein soleil au sommet de ce talus, elle a chauffé, réchauffant du même coup le corps de la grenouille qui s’y trouvait encastré. L’animal, s’éveillant de sa torpeur grâce à la température montante, n’a probablement pas pu survivre à cette prison de pierre dans laquelle l’oxygène était rare, et est décédé peu de temps avant que le Docteur Smith ne le libère.
Conclusion
De nos jours, les amphibiens sont les vertébrés connaissant le déclin le plus marqué de leur population. Le changement climatique est incontestablement une des causes majeures de ce déclin. Cependant, il n’est pas possible pour l’instant de prévoir quel sera l’effet sur ces animaux des hivers plus doux et plus courts qui viendront dans les années à venir, principalement en raison d’un manque d’études expérimentales contrôlées.
Les connaissances sur l’hibernation des reptiles sont donc partielles, et il n’est pas possible non plus, pour l’instant du moins, de lier le phénomène des crapauds enfouis dans des blocs de pierre depuis des milliers d’années, avec leur hibernation.
Une meilleure compréhension de l’hibernation permettrait sûrement aux scientifiques de faire d’intéressantes percées en biologie, et d’aider les espèces à survivre aux changements climatiques actuels… et de résoudre enfin ce mystère des reptiles encastrés dans la pierre!
Références
- La Survie des Animaux à Sang Froid, Les découvertes impossibles
- Journal encyclopédique… [Ed. Pierre Rousseau]
- Stories of Live Animals Sealed Within Stone, liveaboutdotcom
- Entombed Animals, The Museum of UnNatural Mystery
- Entombed animal, Wikipedia
- Toads in the Hole, The Guardian
- The strange tale of Old Rip, the horned toad on display in a Texas courthouse, The Dallas Morning News
- Sous la terre, sous l’eau ou complètement gelés : comment grenouilles et crapauds passent l’hiver, Parcs Blog
- The New-Yorker, Volume 8.- New York: H. Greeley & Company, 1839
- Experimental evidence for beneficial effects of projected climate change on hibernating amphibians, National Center for Biotechnology Information
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Comment expliquer ces objets de fabrication humaine incrustés dans des roches vieilles de plus de 100 millions d’années ?
Marc a laissé ce commentaire à l’ancienne URL du site le 29 mai 2022:
« Très intéressante étude. Je n’ai pas d’explication formelle, cependant, il est une petite chose à noter, qui à mon avis doit avoir son importance: l’aspect linguistique. En effet, dans les anciens manuels naturalistes, en latin, on a l’expression Buffo vivis, qui se traduit en français à la fois par « trou brillant »(dans la pierre, c’est à dire cavité contenant des cristaux), et aussi par « crapaud vivant »….Voilà qui a pu faire fonctionner les imaginations. »
Bernard a laissé ce commentaire sur l’ancienne URL du site le 8 janvier 2024:
« C comme ce vieux moulinet de pêche retrouvé enchâssé dans de la roche estimée à 300 ma au bord d’une rivière ou ce bœuf musqué radio daté au 14C a 17000 ans pour les muscles du cou et à 23000 ans pour ses poils soit 6000 ans de différence pour le même animal. La radio datation enregistré est exacte mais le calibrage n’est pas fiable. Sur 140. Isotopes sur une même roche,139 ont été rejetés pour non conformité idéologique. Il y a une impossibilité à prédire des dates d’éruptions volcaniques contemporaines de 50 ans. De la roche volcanique qui vient de se former il y a une semaine,peut-être radio datée a500.000 ans si elle est soumise à l’érosion,l’eau,la friction en ce que trois fois plus d’argon pénètre dans cette roche.N’oublions pas le déluge qui a tout recouvert bien plus que le tsunami du sud-est asiatique ou sur une plage il s’est formé cinq strates différentes sur une hauteur de 1,50 m entre le flux et le reflux en 17 mn seulement ou ce volcan qui a formé 13 m de strates différentes en 13 heures sur une très large étendue.Comme les fossiles poly strates tant végétaux qu’animaux ou ces derniers ont souvent une posture opisthotonique c a d la tête révulsée en arrière comme les noyés. Donc pas d’étonnement pour tous ces objets insolites enfouis dans le sol il y a que quelques milliers d’années.(autres curiosités) Roues de chars Mer Rouge dans le golfe d’Aquaba. »
Bernard a laissé ce commentaire sur l’ancienne URL du site le 8 janvier 2024:
« Une histoire malheureusement vraie. Un jeune garçon de 14 ans n’a pas pu arriver à temps à l’hôpital car il est décédé un quart d’heure après avoir été mordu par un ptérodactyle en Papouasie nouvelle Guinée. La bas on les nomme Rouen.deux jeunes gens Français sur une plage en Grèce ont aperçu volant au dessus d’eux un ptérodactyle. Quatre chasseurs en Crête ont aperçu deux ptérodactyles qui se sont envolés à leur approche. Nota . Ces volatiles ont des dents venimeuses. La nuit ils sont bio_luminescents. PS notre planète n’est pas si âgée qu’on le prétend. Le polonium donne un âge très jeune à la Terre. »